Jean-Louis Fournier.
Je suis mort. C'est pas le pire qui pouvait m'arriver. J. -L. F. Jean-Louis Fournier fait le mort sur une table d'autopsie. Il analyse sa personnalité, ses réflexions et sa vie. Il s'amuse de ses petits travers d'humain et propose de se réconcilier avec eux, en les associant à un trait positif de son caractère, ainsi son orgueil et son humilité, son indifférence et sa sensibilité, sa poésie et sa cruauté.
Seule la fantaisie du romancier a le pouvoir d'apaiser l'angoisse de la mort, transformée en joyeuse méditation sur soi-même.